Information presse du 25 janvier 2005, co-signée avec Agir pour l’Environnement.

Mieux consommer…en vendant des téléphones portables aux enfants de 4 ans ?!!!

Lettre ouverte adressée au ministre de la Santé, Monsieur Douste-Blazy, par les associations Priartem et Agir pour l’Environnement, suite à l’accumulation des preuves scientifiques de l’impact de la téléphonie mobile sur la santé.

Suite à l’accumulation des preuves scientifiques de l’impact de la téléphonie mobile sur la santé, les associatins Priartem et Agir pour l’Environnement ont organisé une conférence de presse et adressent ce jour une lettre ouverte au ministre de la Santé, monsieur Douste-Blazy.

Décision civile Cour d’Appel d’Aix en Provence, arrêt du 8 juin 2004

"Ce matin,28 avril 2004, Janine Le Calvez, présidente de Priartem et Stephen Kerckhove, responsable des campagnes à Agir pour l’environnement se sont vus refuser l’accès à la conférence de presse organisé conjointement par l’AMF et l’AFOM. Ce refus est d’autant plus inacceptable que le Guide est présenté comme visant à favoriser la "transparence et l’harmonie dans ce dossier conflictuel.

Lettre ouverte du 27 avril 2004, co-signée avec Agir pour l’Environnement, à destination de Monsieur Hoeffel, président des maires de France.

Droit de réponse du 11 mars 2004, co-signé avec Agir pour l’Environnement, à Monsieur Russo, délégué général de l’Afom suite à la réaction des associations à l’encontre de la campagne de publicié d’Orange : "Communiquons plus"

Courrier du 02 mars 2004 adressé à Monsieur Mattei -ministre de la Santé - co-signé avec Agir pour l’Environnement

Courrier du 2 mars 2004, co-signé avec Agir pour l’Environnement, à destiation du maire de Paris, Bertrand Delanoë

Il va devenir de plus en plus difficile aux porteurs de la thèse officielle de l’innocuité des rayonnements de la téléphonie mobile de défendre leur position de déni sans aller voir plus loin.

Les résultats d’une nouvelle étude (voir résumé plus bas) réalisée à la demande de trois ministères hollandais viennent en effet balayer deux arguments largement utilisés par nos experts « autistes » :