Les suédois ont utilisé massivement le téléphone portable plutôt que les autres citoyens européens. Les enquêtes épidémiologiques qui disposent donc de panels plus importants, notamment pour ce qui concerne les utilisateurs de longue durée, sont donc particulièrement instructives pour tous.
- L. Hardell et coll., « Further aspects on cellular and cordless telephones and brain tumour », Int. Journal of Oncology, 2003, 22 : 399-407.
Etude conduite sur 1617 patients qui met en évidence une augmentation significative du risque d’astrocytome chez les utilisateurs de téléphone portable.
- L. Hardell, M. Carlberg, K. H. Mild, « Pooled analysis of two control studies on use of cellular and cordless telephones and the risk for malignant brain tumours diagnosed in 1997-2003 », Int. Arch. Occup. Environ. Health, 2006. Synthèse de deux enquêtes réalisées à deux périodes différentes : 1997-2000, pour la première, 2000-2003 pour la seconde, : accroissement significatif des risques de tumeur maligne au-delà de 10 ans d’utilisation. Corrélation entre le côté d’apparition de la tumeur et le côté d’utilisation du portable. Article très intéressant car il situe les résultats qui y sont présentés en les référant aux résultats comparables ou contradictoires publiés dans la littérature scientifique.
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