Priartem reçoit beaucoup de plaintes des riverains d’antennes nombreux à souffrir de ce que l’on appelle le « syndrome des micro-ondes ». Devant le refus des autorités en charge de la santé de lancer des enquêtes épidémiologiques auprès des riverains d’antennes, l’association a décidé, en 2003 (vérifier la date), de réaliser des enquêtes sanitaires citoyennes. Celles-ci n’ont pas de prétentions scientifiques mais constituent des signaux d’alerte que nous avons transmis à la Direction générale de la santé. Elles montrent en effet des taux de troubles plus importants lorsque l’on se situe dans un rayon proche de l’antennes, plus élevés également lorsque l’on est face à l’antenne… Le ministère de la santé n’a pas jugé utile de lancer sur les sites signalés la moindre enquête sanitaire hormis l’enquête tronquée réalisée par l’INVS à Saint-Cyr l’Ecole. Quand on craint les résultats, mieux vaut ne pas chercher, telle semble être la devise de nos responsables de la santé publique !