Sophie PELLETIER, présidente de PRIARTEM participait à la première table-ronde consacrée à l’hypersensibilité électromagnétique ; Janine LE CALVEZ, vice-présidente de PRIARTEM participait à la seconde, consacrée aux limites d’exposition.

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A la suite de celle-ci, l’OPECST a débattu du sujet le 12 juillet 2018 et Cédric Villani a rendu ses conclusions.

L’ensemble est compilé dans un compte-rendu ou en version papier sur le site de commande de la documentation française

L’analyse que nous pouvons faire de cette séquence est plutôt positive. L’OPECST, qu’on a connu moins ouvert et beaucoup plus partial, a semble-t-il entendu et pris en compte les différentes interventions pour aboutir à une position relativement équilibrée.

Les conclusions (cf 1ere et 4eme de couv) partent du constat que le rapport de l’ANSES sur l’EHS fait suffisamment consensus pour servir de base de travail.

La question du maintien des moyens de financer la recherche publique, garantissant son indépendance est soulignée comme essentielle dans ce domaine aussi sensible et les propositions de l’INSERM de reconstruire, en lien avec les associations, une méthodologie sont mises en lumière.

Si les travaux de l’ICNIRP ne sont pas remis en cause, leur transposition dans le domaine réglementaire (décret de 2002 est interrogé et le principe ALARA est même évoqué.

Le rendez-vous suivant le rendu du rapport du gouvernement au parlement sur l’EHS prévu par la loi Abeille.

Et, là nous avons quelques raisons d’être inquiets, le Ministère ayant manifestement l’intention de travailler à la production de ce rapport sans même consulter les associations.